Panique Pandémie 02 Qu'est Ce Qu'on Mange ?
PANIQUE PANDÉMIE 02
QU'EST CE QU'ON MANGE ?
Oui je sais, un titre affolant et affolé, puis un sous-titre trivial
Mais, c'est pas parce qu'on panique qu'on n'a pas faim ! Et en attendant de tous mourir il faut bien vivre
Nous étions désormais deux réfugiés survivants qui partagions le même abri. La situation s'était aggravée, à n'en pas douter. Dehors tout était en désordre, nous avons même vu passer un cerf l'autre jour. La rue restait désespérément déserte, seul le facteur passait encore en fin de matinée. Le pire semblait sur le point d'arriver. Nous ne survivrions pas à l'hiver !
Pour ceux qui auraient loupé le premier épisode, ne vous affolez pas en me lisant, tout va bien. Il ne faut pas s'inquiéter, on était seulement en confinement.
Confinement, enfermé, pas bouger, pas sortir. Aaaaah ! ...
Pareil ! Pas d'inquiétudes, ça me fait ça depuis quelques jours à chaque fois que j'entends le mot confinement.
La situation s'était aggravée, alors ça c'est sûr, il n'y avait plus rien à manger et pire même, il n'y avait plus de bière ! Il faudrait envisager une sortie pour se ravitailler. Étienne préparait les sacs pour faire les courses et voyant mon air méfiant au bord de la fenêtre.
Étienne : Mais non ce n'est pas dangereux, les brigades de quartier ont chassé tous les zombies !
Moi : C'est ça moque toi ! Je voudrais t'y voir moi !
Étienne : Mais c'est que je vais y aller aussi, avec tout ce qu'il nous faut on ne sera pas trop de deux !
J'étais toujours en mode '' Fin du monde Zombies '' !
Il n'empêche que dehors c'était le pied. Je n'ai croisé que quelques voitures, c'était la première fois que je sortais ma voiture du garage depuis plus de deux semaines. On avait choisi de faire nos courses en début d'après midi, c'est là qu'il y a le moins de monde. Sinon il parait qu'il faut faire la queue.
Étienne : Tu aurais du prendre un caddy toi aussi !
Moi : Tu crois qu'on aura vraiment besoin de deux caddy ?
Étienne : Il n'y a pas que ça
Je me faisais jeter à l'entrée du magasin
Une personne, un caddy il a dit le vigile
Je revenais quelques instant plus tard avec un caddy et prenait mon air idiot en approchant de l'entrée. Me reconnaissant le vigile poussait un grand soupir mais me laissait passer. Finalement on avait bien besoin de deux caddys
On avait fait le plein, tout ce qu'il faut pour remplir le congélateur, des légumes et un caddy à lui tout seul plein de boissons. Non il n'y avait pas que de la bière ! Il y avait du caca-cola et même de l'eau ...
On ne croisait que deux voitures sur plus de dix kilomètres pour le retour.
Étienne : Tu vois bien qu'il n'y avait pas de zombies !
Bon il se moquait, je préférais ignorer.
Étienne : En tout cas on a fait le plein, on a de la réserve
Moi : Des fois que, la tempête, le vent, la pluie, la neige ne nous cloue pendant des semaines à la maison
Étienne : Eh bien ça nous change des zombie ça. Tu es grave toi ! Je te rappelle qu'on est en Avril.
Moi : Oui mais il n'y a plus de saison !
Il rigolait.
Rapidement on rangeait tout.
Étienne : Mais il n'y a pas de viande, pas de charcuterie ! Il y avait plein de boucherie, ne me dis pas que tu as tout laissé à la caisse !
Moi : Mais non, je l'ai seulement laissé au magasin.
Il me regardait l'air bizarre
Moi : Je l'ai fait livrer !
Il levait les yeux au ciel.
Étienne : Mais enfin, tu as vraiment des idées bizarres, on a ramené un volume incroyable de bouffe et de boisson et tu choisis de laisser juste quelques paquets pour les faire livrer !
Moi : Oui je sais, mais, c'est que
Enfin tu comprendras quand tu verras le livreur !
Étienne : Mouai ! Bon on verra !
L'après midi prenait fin quand on sonnait à la porte.
Étienne : Je vais ouvrir !
J'entendais la porte s'ouvrir puis quelqu'un entrait, j'entendais des voies. Étienne revenait vers moi
Étienne : Finalement tu as bien fait de faire livrer !
Moi : Tu as vu le boucher ?
J'allais aussitôt faire la bise à Denis. Denis c'est le boucher mais vous aviez deviné. Je faisais les présentations. On rangeait rapidement la marchandise dans le frigo et dans le congélateur puis on s'ouvrait une petite bière.
Denis : ( à l'intention d' Étienne ) Il est toujours en mode Zombies ?
Étienne : Oui mais tout à l'heure il parlait de neige de tempête
Denis : Donc il ne va pas mieux !
Étienne : Pas vraiment j'ai l'impression, mais ça ne fait pas longtemps que je le connais.
Denis : Tu ne t'inquiètes pas surtout, il se fait beaucoup de cinéma dans sa tête
Moi : Bon, ça va, faite comme si je n'étais pas là !
Denis : Oh le pauvre petit doudou, il est fâché le petit doudou !
Denis me faisait une bise sur la joue. Je baissais la tête et relevais les yeux.
Moi : Encore
Denis venait s'asseoir à ma gauche, et me prenant dans ses bras me donnait des baisers sur la joue. Étienne voyant cela ne voulait pas rester simple spectateur, il venait s'asseoir à ma droite et en faisait de même. Je retrouvais mon sourire idiot !
Je passais mes bras dans leurs dos et les serrais contre moi. Je tournais la tête d'un côté et de l'autre, en embrassant un puis l'autre mais toujours avec la même tendresse et la même passion.
Vous avez compris que Denis, je le connaissais depuis un moment déjà. Ça faisait même longtemps pour être exacte. Étienne est étudiant, il est très jeune et très mignon. Denis est plus vieux, il a passé la trentaine, pas depuis longtemps mais il l'a passé mais il est pas mal lui aussi dans son genre.
Très élégant, une silhouette mince et discrètement musclé, mais c'est pas du toc, c'est ferme et très doux.
Bein oui quoi on ne va pas en rester là !
Ils passaient chacun une main, sous mon T-shirt et la remontaient sur tout mon ventre, ils me chatouillaient un peu et me faisaient frissonner, je laissais faire, c'était agréable.
J'en faisais de même et mes doigts savaient apprécier la douceur de leurs peau. J'essayais de passer une main sur le ventre de mes partenaires pour caresser leurs torses, mais bon on était assis côte à côte et la position ne le permettait pas.
Agacé je me relevais et retirais mon T-shirt sans prévenir. Étienne souriait à me voir faire, je ne laissais pas à Denis le temps de réagir et lui retirais à lui aussi son T-shirt. Maintenant je suppose que vous serez d'accort avec moi pour reconnaître qu'il est bien foutu mon pote Denis
Oh pardon ! J'avais oublié qu'il y en a qui n'ont pas la couleur !
Il a des muscles fins mais bien dessinés, pas un poil de graisse, une très belle et très douce fourrure pas trop envahissante, juste ce qu'il faut
Il est superbe. Il rigolait de me voir faire et n'avait pas vraiment résisté. A son tour il se relevait, ouvrait son pantalon, le faisait tomber sur le sol, d'un geste du pied il repoussait ses chaussures et son pantalon, sa queue se relevait fière et elle aussi musclée, doucement musclée elle aussi mais bien ferme et de très belle taille.
Je vous jure, c'est le genre de boucher qui fait changer ses habitudes alimentaires à n'importe quel végétarien.
Sans attendre je retombais à genoux devant lui et prenais sa queue dans ma bouche. Mes yeux croisaient le regard d'Étienne qui regardait la scène avec des yeux tout ronds. Il se relevait à son tour, je suçais la queue de Denis, il me guidait la tête avec ses deux mains, il y allait tout doucement en premier puis plus fermement il commençait à me donner des coups de bassin.
Je sentais les mains d' Étienne me caresser les épaules, puis c'était ses lèvres qui me déposaient des baisers dans le cou, juste sous les oreilles. Ses mains alors glissaient le long de mon corps, passaient sur mon torses et ses caresses devenaient plus fortes, plus intenses.
Je tournais ma tête en arrière et mes lèvres rencontraient celle d' Étienne, on échangeait alors un long et tendre baiser. Quand je retournais mon visage vers Denis je levais la tête, il me regardait avec le sourire, me caressais la joue et me montrait sa queue qui était bien droite, bien raide, bien grosse. Je me l'enfilais dans la gorge de nouveau, il en profitait pour me donner un coup de bassin et pour appuyer ma tête contre lui en gémissant de plaisir.
Étienne était dans mon dos, il s'était agenouillé lui aussi, ses genoux étaient entre mes jambes, juste en dessous de mes fesses. Il me couvrait de baisers tout le haut du dos. Ses mains me caressaient le ventre et doucement se glissaient sous mon pantalon. Il faisait sauter un à un les boutons de mon pantalon qui glissait sur mes genoux.
Denis me balançait des coups de bassin de plus en plus forts, à chaque fois je tentais de relever la tête, il me retenait alors avec les deux mains et appuyait sur ma tête. Je sentais son gland s'écraser dans le fond de ma gorge, j'adore ça et il le sait l'animal.
Étienne glissait ses mains entre mes cuisses, me massait les couilles, me tripotait la bite avant de me branler dans les règles. Il me décalottait et me massait la gland après m'avoir généreusement lubrifiée la queue avec sa salive. Je me contractais, je sursautais, c'est sensible là vous savez. Avec son autre main, il me caressait les fesses avec de plus en plus dinsistance.
Il me lubrifiait le cul et je sentais un doigt forcer le passage.
Vous devez commencer à me connaître et ça ne vous étonnera pas si je vous dis que j'ai pas fait d'histoire, bien au contraire, j'ai laissé faire !
Avec deux doigt il me massait le cul et quand il les enfonçait bien à fond il en profitait pour tambouriner sur ma prostate.
Rapidement là, je réagissait et malgré la queue de Denis qui me limait la bouche avec vigueur je parvenais à râler
Mais c'était pas pour me plaindre, je vous jure !
Au bout d'un long moment Denis décidait de s'asseoir, je suivais le mouvement et me retrouvais à quatre pattes devant lui, sa queue toujours dans ma bouche, mais ça va, là je gère ! Étienne en profitait pour me dégager les jambes, et jetais plus loin mon pantalon et mes chaussures. Ma nouvelle position était plus propice pour la suite.
Étienne continuait à me tripoter les couilles et la bite avec efficacité pendant un long moment. J'étais plus ou moins dans une position inconfortable. Il fallait que je m'appuie sur mes bras, sinon je tombais en avant et la queue de Denis me rentrait un peut trop dans la gorge. Surtout que l'animal en profitait alors pour appuyer sur ma tête encore plus fort
( le farceur )
C'est pas que j'aime pas, je ne veux pas me plaindre mais il y a des limites.
Donc j'étais plus ou moins obligé de laisser faire Étienne. S'il y allait un peu fort avec ma bite et mes couilles au niveau de mon cul
c'était top. Il m'avait bien lubrifié le cul, et le dilatait juste comme il faut. Je commençais à vibrer de plaisir, là au milieu de mon ventre, avec le massage de ma prostate qu'il me faisait.
Il n'arrêtait de me tripoter les couilles que pour prendre position et m'enfoncer sa queue sans prévenir, bien à fond, en un mouvement rapide et décidé. J'ai gueulé, c'est vrai qu'il y avait la queue de Denis qui aurait du faire bâillon mais ça n'a pas suffi, ça les fait rire, je suis tombé en avant j'ai pris la queue de Denis bien à fond, bien au delà de la limite des amygdales et pendant que Denis, histoire de rigoler, me retenais le visage contre lui avec force, Étienne commençait à me limer le cul
La vache, je l'ai senti passer là ! C'était bon. Je voulais dire quelques chose mais je ne pouvais pas. Remarquez je voulais juste leur gueuler des '' Encore, encore
'' et comme eux ne voulaient pas arrêter on était d'accord, même sans pouvoir se le dire !
Pendant un long moment je n'ai rien fait sinon subir, sinon apprécier, sinon jouir avec force au moment venu. J'ai juté, plus personne ne me touchait la bite ou les couilles mais j'ai juté, c'était terriblement bon. J'ai senti Étienne s'énerver un peu plus sur mon cul, là j'avais bien envie de lui demander de se calmer mais je ne pouvait toujours pas parler.
Son ventre claquait sec contre mes fesses quand il revenait, quand il m'enfonçait sa queue bien à fond et il gémissait de plus en plus fort lui aussi. Enfin moi je gémissais comme je pouvais. Mais Denis aussi il gémissait de plus en plus. Je le sentais trembler entre mes bras, j'avais passé mes épaules par dessus ses cuisses, c'était le seul moyen que j'avais trouvé pour pouvoir résister quand il appuyait trop fort sur ma tête.
C'est Denis qui à conclu en premier, il m'a balancé cinq ou six giclées de sperme dans la gorge, il me retenait toujours la tête mais moins fermement, il me laissait respirer pendant que Étienne terminait de me défoncer le cul avec quelques dernier mouvements particulièrement violents. Il avait joui lui aussi.
Étienne ne bougeait plus, Denis débandait rapidement, je retrouvais mon souffle.
On finissait pas se séparer, par se lâcher, on se relevait et on allait prendre une douche, chacun lavant l'autre avec douceur.
Denis et moi nous laissions tomber sur le canapé, Étienne arrivait quelques instants plus tard avec trois bières
On retrouvait notre calme
Moi : Bon bein, c'est bien beau tout ça mais
Qu'est-ce qu'on mange ?
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@CharlyChast
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